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L'expert comptable aide les consultants avec leur comptabilité

  • Les auto-entrepreneurs bénéficient de formalités comptables allégées, mais doivent surveiller les seuils de chiffre d'affaires.
  • Les consultants doivent gérer la TVA : facturation, déduction et déclaration selon leur régime fiscal.
  • Le compte de résultat et le bilan sont essentiels pour les consultants soumis à un régime réel d'imposition.
  • Les amortissements, provisions et plus-values jouent un rôle clé dans la gestion comptable des consultants.
  • Des régimes d'exonération fiscale existent pour certaines entreprises (JEI, ZFU, ZRR, etc.).
  • L'accompagnement d'un expert-comptable simplifie la gestion comptable et garantit le respect des obligations légales.

Fonctionnement du régime général de la sécurité sociale

  • Le régime général de la sécurité sociale couvre les salariés, les étudiants, les bénéficiaires de prestations sociales et certains autres résidents.
  • Le financement du régime général repose principalement sur les revenus du travail, via les cotisations sociales, et non sur l'impôt.
  • La sécurité sociale est divisée en 4 grands régimes : général, non-salariés, spéciaux et agricole.
  • Le régime général est composé de 5 branches principales : vieillesse, famille, maladie, recouvrement des cotisations et fédération des employeurs.
  • Le financement du régime général repose sur une combinaison de cotisations sociales, prélèvements sociaux, impôts, taxes et autres produits.
  • Les cotisations sociales sont réparties entre employeurs et salariés, avec des taux spécifiques pour chaque type de couverture sociale.

Expert comptable obligatoire ou pas pour les SARL et SAS ?

  • Les entreprises en SARL ou SAS ne sont pas obligées de recourir à un expert-comptable, mais c'est fortement recommandé pour garantir la conformité et la gestion efficace de leur comptabilité.
  • Un expert-comptable assure le suivi quotidien des flux financiers et la gestion des déclarations fiscales, ce qui peut être complexe et chronophage pour les dirigeants.
  • Les entreprises individuelles sous le régime réel de l’impôt sur le revenu peuvent être soumises à une majoration de 25% de leur revenu imposable si elles ne sont pas accompagnées d'un expert-comptable ou d’un centre de gestion agréé (CGA).
  • Les auto-entrepreneurs bénéficient d’une comptabilité simplifiée, mais peuvent avoir besoin d'un expert-comptable si leurs revenus dépassent les plafonds ou s'ils changent de statut juridique.
  • Les obligations comptables des SARL comprennent la gestion des déclarations de TVA, le dépôt des comptes annuels et la tenue des registres comptables.
  • Bien que l'expert-comptable ne soit pas une obligation légale, son rôle est essentiel pour éviter les risques de pénalités fiscales en cas d'erreurs ou de manquements dans la comptabilité.

Crédit d’impôt famille : éligibilité et calcul

  • Le crédit d'impôt famille soutient les entreprises qui aident leurs salariés dans leur vie familiale.
  • Il permet de bénéficier de réductions d'impôt pour des dépenses liées à la famille des employés.
  • Il s'applique aux entreprises de toutes tailles.
  • Le crédit d'impôt concerne des actions comme la création de crèches ou le financement de services de garde d'enfants.
  • Il est essentiel de comprendre les critères d'éligibilité et la méthode de calcul pour en bénéficier.
  • Ce dispositif aide à alléger les charges fiscales tout en améliorant le bien-être des employés.

L’expert comptable la lettre de mission

  • La lettre de mission, obligatoire depuis 2012 pour les experts-comptables, formalise la relation entre l'expert-comptable et son client.
  • Elle définit la nature des services (audit, conseils, etc.) et le cadre financier, y compris les honoraires et leur évolution.
  • En cas de désaccord, elle constitue la base de référence pour résoudre le litige, offrant une protection mutuelle.
  • Les clauses fondamentales incluent la durée de la mission, les conditions de renouvellement, la description des services et les modalités de facturation.
  • Elle précise les conditions de résiliation, y compris la gestion d'une résiliation anticipée et d'éventuelles indemnités ou le transfert de documents.
  • La lettre aborde également le droit de rétention de l'expert-comptable en cas de litiges, notamment en cas d'impayés, et les conditions de conservation des documents clients.

Dividendes et impot sur le revenu

  • Les dividendes sont des revenus de capitaux mobiliers et non une rémunération.
  • Ils peuvent être soumis à des cotisations sociales si leur montant dépasse 10% du capital social.
  • Il existe deux régimes d'imposition des dividendes : le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) et l'imposition au barème progressif.
  • Les dividendes sont versés après le paiement de l'impôt sur les sociétés (IS) et peuvent être distribués selon la participation des associés.
  • Les dividendes peuvent être soumis à un prélèvement à la source de 30%, incluant impôt et prélèvements sociaux.
  • Les dividendes perçus par des entreprises ou associations sont soumis à des règles fiscales spécifiques, en fonction de leur statut fiscal.

L’attestation des comptes par l’expert-comptable

  • L'expert-comptable conseille et accompagne le dirigeant dans la stratégie financière de l'entreprise.
  • Il fournit une attestation des comptes annuels garantissant leur régularité et leur sincérité.
  • Le visa fiscal de l'expert-comptable évite une majoration de 25% pour les entreprises non adhérentes à un CGA ou AGA.
  • Les auto-entrepreneurs doivent respecter une comptabilité sincère et régulière malgré des obligations simplifiées.
  • Toutes les entreprises doivent produire des comptes annuels sincères et fidèles selon leur régime d'imposition.
  • L'expert-comptable assure la clôture et la validation des comptes annuels des entreprises.

Que faire si mon client ne paie pas ma facture ?

  • Il est crucial de connaître le processus d’achat de vos clients et les interlocuteurs impliqués dans le paiement de vos factures pour mieux gérer les retards.
  • Les factures doivent inclure la date de paiement et des conditions générales de vente claires, y compris les pénalités de retard et une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement.
  • Les relances doivent être effectuées de manière proactive, de préférence par téléphone, et suivies d'un email pour laisser une trace écrite.
  • En cas de retard persistant, il est important de facturer les pénalités de retard comme convenu dans les conditions générales de vente.
  • Un courrier de mise en demeure peut être envoyé pour rappeler au client la procédure judiciaire en cas de non-paiement.
  • Si toutes les relances échouent, la procédure d’injonction de payer est une solution légale pour récupérer les fonds dus, sans nécessiter une audience en tribunal si la facture est validée.

Les Aides à la Création d'Entreprise pour les Chômeurs

  • L'ACRE offre une exonération de charges sociales pendant la première année d'activité, avec des conditions de revenu à respecter.
  • Pour bénéficier de l'ACRE, il faut être créateur ou repreneur d'entreprise et respecter certains critères d'éligibilité.
  • Les chômeurs créateurs d'entreprise peuvent cumuler l'ARE et l'ACRE, offrant ainsi un revenu stable et des charges sociales réduites.
  • L'ARE permet aux créateurs d'entreprise de toucher des allocations chômage pendant la phase de transition vers l'entrepreneuriat.
  • L'ARCE est une alternative à l'ARE, offrant un capital sous forme de versements, utile pour les créateurs d'entreprise.
  • Des aides fiscales sont également disponibles pour alléger la fiscalité des créateurs, notamment des exonérations d'impôts locaux et des aides à l'innovation.

Société Anonyme (SA) : définition et fonctionnement

  • La SA est une société de capitaux, avec des actionnaires dont la responsabilité est limitée à leurs apports financiers.
  • Elle nécessite au minimum 2 actionnaires, et 7 si elle est cotée en bourse, avec un capital social minimum de 37 000 euros.
  • Les actionnaires ont des droits financiers, politiques et d'information, et peuvent agir en justice contre les dirigeants.
  • Le capital peut être apporté en numéraire ou en nature, mais pas en industrie, et la société est dirigée par un directeur général nommé par le conseil d'administration.
  • La SA est soumise à l'impôt sur les sociétés, avec des taux variant selon les bénéfices, mais peut opter pour l'impôt sur le revenu dans certains cas.
  • La gouvernance de la SA peut être assurée par un conseil d'administration ou un conseil de surveillance, selon les statuts de la société.

Le report à nouveau du bilan en comptabilité

  • Définition du report à nouveau : il s'agit de la décision de reporter l'affectation des bénéfices à une assemblée générale ultérieure.
  • Conséquences fiscales pour les sociétés soumises à l'IS : les bénéfices sont déjà soumis à l'impôt avant d'être affectés en report à nouveau.
  • Calcul de l'impôt en cas de perte : les pertes se reportent sur les bénéfices de l'année suivante pour le calcul de l'impôt sur les sociétés.
  • Le report à nouveau dans le bilan comptable : il apparaît au passif du bilan, dans les capitaux propres, et peut être positif ou négatif.
  • Cas d'un report à nouveau positif : il correspond à des bénéfices non distribués ni mis en réserve, et est enregistré au compte 110.
  • Cas d'un report à nouveau négatif : il résulte d'une perte, et est enregistré au compte 119 lorsqu'il est débiteur.

Le commissaire aux comptes en SAS est il obligatoire ?

  • La nomination d'un commissaire aux comptes est obligatoire en SAS lorsque certains seuils financiers sont atteints.
  • Les seuils pour la nomination incluent un bilan de 1 million d'euros, un chiffre d'affaires de 2 millions d'euros, ou 20 salariés.
  • La société peut nommer un commissaire aux comptes même si elle ne dépasse pas ces seuils.
  • Le commissaire aux comptes et son suppléant sont désignés pour un mandat de 6 exercices sociaux, renouvelables.
  • Le commissaire aux comptes vérifie la régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes annuels.
  • Nommer un commissaire aux comptes apporte une garantie de transparence et de bonne gestion, et renforce la confiance des partenaires de la société.

Quels sont les frais des auto entrepreneurs ? Peut-on les déduire ? (2025)

  • Les frais professionnels ne peuvent pas être déduits en micro-entreprise, mais il existe des alternatives comme l'inclusion de ces frais dans le prix facturé au client.
  • Les frais professionnels incluent des dépenses comme les déplacements, les repas d'affaires, ou l'achat de matériel, et se divisent en frais fixes et variables.
  • Il existe un abattement fiscal forfaitaire applicable selon l'activité (71% pour l'achat-revente, 50% pour l'artisanat, 34% pour les services), simplifiant la gestion fiscale des micro-entrepreneurs.
  • Bien que les frais professionnels ne soient pas déductibles, les frais de débours peuvent l'être sous certaines conditions, comme les achats de matériaux ou les frais d'expédition pour le compte du client.
  • Les frais de débours doivent être validés par le client et facturés en détail, incluant par exemple les frais de transport ou de matériel.
  • Pour gérer efficacement les frais, il est recommandé d'utiliser des outils de suivi des dépenses, en vue d'une éventuelle transition vers un statut de société.

Création d'entreprise et TVA : Comment la récupérer avant la création ?

  • Le formulaire M0 est essentiel pour immatriculer une entreprise et choisir le régime de TVA approprié.
  • Il existe plusieurs régimes de TVA : franchise en base, régime réel simplifié, et régime réel normal.
  • La TVA est un impôt indirect que l'entreprise collecte sur ses ventes et déduit de ses achats.
  • Les entreprises peuvent récupérer la TVA sur les achats effectués jusqu'à 6 mois avant la création.
  • Le statut LMNP permet aux propriétaires de récupérer la TVA sur l'acquisition de biens meublés.
  • Les conditions pour la franchise en base de TVA varient en fonction du chiffre d'affaires des entreprises.

Calculer la CFE : conditions et exonérations ?

  • La CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) est une taxe obligatoire pour toutes les entreprises, y compris les micro-entrepreneurs, calculée sur la valeur locative des biens utilisés par l'entreprise.
  • La CFE fait partie de la CET (Contribution Économique Territoriale) avec la CVAE, mais la CVAE ne s'applique qu'aux entreprises ayant un chiffre d'affaires supérieur à 500 000 €.
  • Les entreprises sont exonérées de la CFE l'année de leur création et bénéficient d'une réduction de 50 % la deuxième année.
  • Le montant de la CFE varie en fonction du chiffre d'affaires et des décisions des collectivités locales, avec une base d'imposition minimum fixée par les conseils municipaux.
  • Certains types d'entreprises bénéficient d'exonérations de plein droit (agriculteurs, services publics) ou d'exonérations facultatives (entreprises en ZFU, ZRR, entreprises innovantes).
  • La CFE doit être payée avant le 15 décembre, avec une option de mensualisation pour l'année suivante, et un acompte de 50 % peut être demandé si la cotisation dépasse 3000 €.
  • La CVAE est une taxe complémentaire à la CFE, due uniquement par les entreprises avec un chiffre d'affaires supérieur à 500 000 €, avec une cotisation minimale de 63 € pour les chiffres d'affaires inférieurs à 1 million d'euros.

Comment domicilier son entreprise ?

  • La domiciliation d'entreprise influence son image, sa crédibilité et sa conformité légale.
  • Les options de domiciliation incluent le domicile personnel, un local commercial, une pépinière d'entreprises, ou une société de domiciliation.
  • Il est crucial de bien choisir l'option en tenant compte des implications fiscales, juridiques et opérationnelles.
  • L'article détaille les démarches nécessaires pour domicilier son entreprise, en mettant l'accent sur les aspects légaux à respecter.
  • Des conseils pratiques sont fournis pour aider à faire un choix éclairé entre les différentes options disponibles.

Entrepreneurs : 6 conseils de Malt pour négocier votre tarif avec vos clients

  • Fixez votre tarif en amont : Ne donnez pas de prix avant d’avoir toutes les informations nécessaires et établissez un prix minimum à ne pas dépasser.
  • Adaptez-vous à la situation : Évaluez la situation du client et ajustez votre devis en fonction du projet et du budget disponible.
  • Expliquez vos tarifs : Détaillez vos services et proposez différentes options de prestations pour mieux répondre aux besoins du client.
  • Créez une situation gagnant/gagnant : Proposez des tarifs justes pour établir une relation de confiance à long terme avec votre client.
  • Prenez votre temps : Ne vous précipitez pas pour accepter un projet, assurez-vous que le tarif et le travail correspondent bien.
  • Apprenez à dire non : Refusez les projets qui ne vous conviennent pas, justifiez toujours votre décision de manière courtoise et professionnelle.

Compte de résultat prévisionnel : qu'est ce que c'est ?

  • Le compte de résultat prévisionnel permet d'anticiper la performance financière de l'entreprise sur trois ans.
  • Il se base sur deux éléments clés : le chiffre d'affaires prévisionnel et les charges attendues.
  • Il aide à estimer les bénéfices ou pertes et à démontrer la viabilité de l'entreprise aux investisseurs.
  • Le chiffre d'affaires prévisionnel est calculé à partir d'une analyse minutieuse du marché et de plusieurs méthodes.
  • Les charges prévisionnelles incluent les dépenses d'exploitation, les coûts du personnel, les intérêts financiers et les impôts.
  • Le compte de résultat prévisionnel valide le modèle économique et assure la pérennité du projet entrepreneurial.

Etapes pour faire le business plan d’un restaurant

  • L'ouverture d'un restaurant nécessite une planification minutieuse, avec une analyse approfondie du marché cible.
  • Le ciblage de la population prioritaire permet d'estimer le volume de repas, de fixer le prix et de déterminer les attentes en matière de temps et de qualité.
  • Une stratégie de marketing et de communication efficace, incluant le choix de la cuisine, la qualité des plats et la politique de prix, est essentielle pour se démarquer de la concurrence.
  • Les étapes suivantes incluent l'établissement des états financiers, le respect des réglementations et la répartition des tâches au sein de l'équipe.
  • L'accompagnement d'un expert-comptable est recommandé pour optimiser les prévisions financières et gérer les aspects fiscaux et légaux spécifiques à la restauration.
  • Les formalités d'immatriculation doivent être effectuées en parallèle pour garantir la conformité légale du projet.

Quelles sont les obligations du particulier employeur ?

  • Devenir particulier employeur permet de recruter directement pour des services comme la garde d’enfants, l’aide à domicile, ou les tâches ménagères.
  • Ce statut implique des obligations légales et administratives, dont la rédaction d’un contrat de travail et l’enregistrement auprès de l’URSSAF.
  • Le Chèque Emploi Service Universel (CESU) simplifie les démarches administratives, notamment pour la déclaration des heures et le calcul des cotisations.
  • Le CESU est un outil flexible, mais il est essentiel de bien connaître les obligations liées à la protection sociale des salariés.
  • Des mesures d’indemnisation pour les salariés en activité partielle ont été introduites en réponse à la crise sanitaire.
  • L’article fournit des conseils pratiques pour recruter et rémunérer via le CESU déclaratif ou préfinancé.