• Le business plan fixe les objectifs et la stratégie post-création, tout en évaluant la viabilité du projet.
• Il rassure les financeurs grâce à des prévisions financières et un modèle économique clair.
• Les étapes clés incluent l’executive summary, l’étude de marché, la stratégie commerciale et la structure juridique.
• Un business plan solide anticipe les imprévus et définit un plan d’action concret pour l’entreprise.
• Des outils gratuits (Propulse by CA, CCI Business Builder, Enloop…) facilitent la création du document.
• Un bon business plan sert de feuille de route pour orienter les prises de décision et assurer la croissance.

• La refacturation permet de rationaliser les coûts et de centraliser la gestion des ressources.
• Elle diffère des débours : la refacturation concerne un service ou produit facturé à sa valeur réelle, tandis que le débours est un simple remboursement de dépenses engagées au nom d’un client.
• Elle peut inclure des domaines variés : ressources humaines, marketing, informatique, location de locaux, etc.
• Les règles comptables et fiscales (TVA, justification des charges) varient selon la nature de la transaction et les entités concernées.
• La traçabilité et une bonne documentation (contrats, justificatifs) sont indispensables pour sécuriser et justifier les refacturations.
• L’utilisation d’un logiciel de comptabilité facilite grandement les process de suivi et de création de factures.

• Le RSA peut être perçu par un chef d'entreprise en démarrage.
• Les micro-entrepreneurs, gérants non rémunérés, et créateurs d'entreprise sont éligibles sous certaines conditions.
• Le RSA est soumis à des critères d'éligibilité basés sur les revenus et la situation familiale.
• Il s'agit d'une prestation sociale destinée à garantir un revenu minimum.
• Le RSA peut servir de filet de sécurité financière pendant la phase de lancement de votre activité.
• Il est indispensable de bien comprendre et respecter les démarches administratives pour en bénéficier.

• Le métier de personal shopper en ligne est en forte expansion grâce à l'essor du e-commerce.
• Il permet de proposer des services sur mesure sans contraintes géographiques.
• Ce secteur attire une clientèle à la recherche de conseils personnalisés pour affiner leur style.
• Découvrez les étapes clés pour démarrer dans ce métier passionnant.
• Évaluez le budget nécessaire pour lancer votre activité de personal shopper en ligne.
• Accédez à des conseils pratiques pour exceller dans un marché en pleine croissance.

• Profitez de la baisse du marché immobilier en 2024 pour renégocier le loyer.
• Connaissez les voies juridiques (force majeure, exception d’inexécution, etc.) permettant de négocier ponctuellement le bail.
• Surveillez les indices (ILC, ILAT) et exploitez les mécanismes de révision ou de renouvellement (clause d’échelle mobile, clause-recette).
• Analysez en détail votre bail (durée, clauses, charges) et comparez avec les offres de locations similaires.
• Préparez une argumentation solide et privilégiez la négociation constructive avec le bailleur.
• En cas d’accord, formalisez les modifications par un avenant et sollicitez l’aide d’un expert si nécessaire.

• Les assurances e-commerce sont spécifiques aux risques numériques, logistiques et juridiques.
• L'assurance RC Pro est fortement recommandée pour couvrir les dommages causés à des tiers.
• L'assurance cyber-risques protège contre les attaques informatiques et les pertes de données.
• L'assurance multirisque professionnelle offre une couverture étendue pour les locaux, biens et pertes d'exploitation.
• Les garanties liées à la conformité RGPD et aux produits défectueux sont essentielles pour éviter des litiges coûteux.
• Choisir la bonne assurance nécessite d'évaluer les besoins spécifiques et de comparer les offres des assureurs.

• La TVA pour les ventes intracommunautaires est appliquée selon le pays de destination au-delà de 10 000 € de chiffre d'affaires annuel.
• Les e-commerçants ont le choix entre plusieurs régimes fiscaux : IR, IS, et prélèvement forfaitaire libératoire pour les auto-entrepreneurs.
• Le statut juridique de l'entreprise (SARL, SASU, EI, etc.) détermine les options fiscales et les obligations comptables.
• Les exportations hors UE sont exonérées de TVA française, mais nécessitent des justificatifs spécifiques.
• Les crédits d'impôt comme le CIR et le CII sont accessibles aux e-commerçants innovants.
• Un accompagnement par un expert-comptable est fortement recommandé pour optimiser la gestion fiscale et éviter les sanctions.
• Le non-respect des obligations fiscales expose à des pénalités, des intérêts de retard et des risques de redressement fiscal.

• La transformation d'une SAS en SARL simplifie la gouvernance et offre un cadre plus rigide mais mieux adapté aux petites structures.
• La SARL permet une réduction des cotisations sociales pour les dirigeants grâce au régime des travailleurs indépendants.
• Le passage en SARL offre la possibilité d'opter pour l'impôt sur le revenu (IR) sous certaines conditions, avantageux pour les petites entreprises.
• Cette transformation nécessite un audit préalable, une décision en AGE, et une modification des statuts, suivis de formalités administratives.
• Les coûts de transformation varient entre 1 500 et 3 000 €, incluant les honoraires, les frais de greffe, et les annonces légales.
• La SARL impose des règles strictes pour la cession des parts sociales, offrant une meilleure protection des associés mais limitant les levées de fonds.
• Un accompagnement par des experts (juridique et comptable) est fortement recommandé pour sécuriser la transition et éviter des erreurs coûteuses.

Ce qu'il faut retenir

 
• L'entrepreneuriat féminin est en pleine expansion, notamment en France, avec de plus en plus de femmes créant des entreprises innovantes.
 
• Les femmes entrepreneures font face à des défis spécifiques, tels que l'accès limité aux financements et les stéréotypes de genre.
 
• Les qualités essentielles d'une femme d'affaires incluent la résilience, la confiance en soi, la polyvalence et une vision stratégique.
 
• Devenir une femme d'affaires permet d'atteindre l'indépendance professionnelle et financière tout en s'épanouissant personnellement.
 
• La conciliation entre vie professionnelle et personnelle est un défi, mais l'entrepreneuriat offre une flexibilité pour l'équilibre.
 
• Les étapes clés pour devenir une femme d'affaires incluent l'identification d'une idée entrepreneuriale viable et la création d'un business plan solide.
 
• Acquérir des compétences en management, communication et gestion financière est essentiel pour réussir en tant que femme d'affaires.

• La montée en puissance de l'e-commerce alimentaire offre flexibilité et diversité aux consommateurs.
• Un budget initial entre 20 000€ et 150 000€ est recommandé selon les produits et leur provenance.
• Environ trois mois sont nécessaires pour lancer un e-commerce alimentaire de qualité.
• Une étude de marché approfondie est essentielle pour définir un positionnement stratégique.
• Le choix de la plateforme e-commerce et des systèmes de paiement joue un rôle crucial.
• Respecter les réglementations sanitaires et d'étiquetage est obligatoire pour garantir la conformité.
• Les tendances actuelles (bio, local, sans gluten) offrent des opportunités pour se différencier.