Devenir franchisé en 2025 : Les 10 (vraies) étapes pour réussir

Toute personne souhaitant exercer comme indépendant peut devenir franchisé au sein d’un réseau. Ce système de commercialisation suppose qu’un franchiseur accorde au franchisé le droit d’exploiter sa marque sous certaines conditions et en échange d’une contrepartie financière. Ce modèle économique concerne une grande variété d’activités et s’adresse à un large public, notamment aux actifs en reconversion professionnelle. Son succès tient à l’accompagnement fourni au nouvel entrepreneur, ainsi qu’au fait que la notoriété de l’enseigne est déjà acquise, octroyant une avance concurrentielle non négligeable.

Que signifie “devenir franchisé” ? Définition et fonctionnement

Qu’est-ce qu’une franchise ?

Avant de démarrer un projet entrepreneurial, il peut s’avérer judicieux de se pencher sur la définition d’une franchise, laquelle offre une manière différente de se mettre à son compte. La franchise désigne ainsi la relation contractuelle liant deux entités juridiquement indépendantes : le franchiseur et le franchisé, dans le cadre de l’exploitation d’une marque. 

À ce titre, le premier permet au second de développer son activité professionnelle sous le statut d’indépendant, tout en le laissant bénéficier de : 

• Son nom ou de sa marque ;
• Son savoir-faire ;
• Son réseau ;
• Sa stratégie commerciale ;
• D’une assistance au lancement de l’activité ;
• Sa notoriété.

Le contrat de franchise prévoit que, bien que le franchisé possède sa propre société, il détient l’autorisation d’exploiter la marque de l’entreprise tierce moyennant le paiement d’une redevance.

Le franchiseur, quant à lui, est le fondateur et le propriétaire du concept commercial loué. Pour le développer, il a créé un réseau de franchise, permettant à de nombreux entrepreneurs de faire rayonner sa marque et ses valeurs, tout en gérant indépendamment leur propre point de vente.

Qu’il s’agisse du franchisé ou de la tête de réseau, les deux parties sont tenues au respect de certains droits et devoirs : 

Le contrat de franchise doit faire mention de l’ensemble de ces prérogatives, visant à préserver la cohérence de la marque au sein du réseau de franchise. Le franchisé reste néanmoins un entrepreneur indépendant et conserve une certaine liberté d'action, tant qu’elle n'entache pas l’image de la marque.

Qui peut devenir franchisé ?

Le statut de franchisé est accessible au plus grand nombre, sous réserve que le candidat ne soit pas frappé d’une interdiction de gérer une entreprise (à la suite d’une faillite par exemple). Aucun diplôme n’est requis pour intégrer un réseau de franchise, excepté dans certains secteurs réglementés.

Pour autant, devenir franchisé n’est pas à la portée de tous. Cette aventure entrepreneuriale comporte des hauts et des bas, et suppose de se doter de compétences spécifiques, notamment dans les domaines de la gestion, du management ou encore de la stratégie commerciale.

Bien que la franchise soit ouverte à tout type de public, le profil idéal du franchisé peut s’incarner au travers d’un cadre en reconversion professionnelle, disposant de ressources financières suffisantes pour couvrir les frais de lancement de son activité. Il justifie d’une expérience préalable ou d’une bonne connaissance du secteur privilégié, sait fédérer une équipe et apprécie le travail en autonomie. 

1- Faire un bilan personnel et valider son profil entrepreneurial

Nul besoin de cocher toutes les cases pour devenir franchisé. Il convient néanmoins de s’assurer de disposer d’un profil cohérent avec son projet.

Les compétences clés à évaluer

L’aventure entrepreneuriale comporte certains risques et requiert du porteur de projet de faire le point sur ses propres capacités. En effet, la nature de l’activité privilégiée exige la maîtrise de compétences spécifiques. En revanche, certaines aptitudes restent communément recommandées pour devenir franchisé, soit : 

• Le leadership ;
• Une organisation sans faille ;
• Un sens aigu de la communication.

Il va sans dire que pour garantir la pérennité de l’entreprise, il est indispensable de démontrer une certaine capacité de gestion financière, sans quoi l’entité pourrait compromettre sa rentabilité.

Motivation et engagement à long terme

Outre les compétences purement opérationnelles, il s’avère essentiel d’étudier l’impact du projet dans sa globalité. Celui-ci nécessite un certain engagement de la part du futur chef d’entreprise, affectant irrémédiablement sa vie personnelle.

Il lui appartient donc d’évaluer la cohérence de son projet professionnel avec sa situation personnelle. Ses contraintes familiales lui laissent-elles la latitude suffisante pour gérer son commerce dans les meilleures conditions ? Bénéficie-t-il du soutien de ses proches ? Toutes ses questions sont à évoquer avant de s’engager dans la création de sa structure juridique.

2- Choisir un secteur d’activité adapté

Après avoir identifié le moment opportun pour se lancer, il s’agit de sélectionner le domaine professionnel dans lequel évoluer.

Identifier les secteurs porteurs en franchise

Il existe un grand nombre de secteurs professionnels permettant de devenir franchisé. Voici quelques exemples de domaines professionnels propices à l’intégration d’un tel réseau : 

• la restauration rapide ;
• le service à la personne ;
• l’immobilier ;
• le e-commerce ;
• le bâtiment ;
• etc.

Dans un premier temps, il est vivement conseillé de se concentrer sur le potentiel que présente chaque secteur envisagé, garant de la rentabilité de votre affaire. Pour cela, pensez à réaliser une analyse du marché et des tendances du moment.

Trouver un secteur aligné avec ses compétences et ses aspirations

Dans un second temps, vous pouvez affiner votre choix en procédant par ordre de préférence, ou d’expérience. Cette étude permet de filtrer les activités et de dégager celles qui pourraient correspondre à votre profil. 

Devenir franchisé et travailler en qualité d’indépendant offre l’opportunité d’exercer un métier passion. Si vous manquez d’idées, n’hésitez pas à trouver l’inspiration dans les salons dédiés à la franchise et à échanger avec des professionnels.

3- Bien choisir son réseau de franchise

Les critères de sélection d’un bon franchiseur

Pour une collaboration optimale, mieux vaut prendre le temps de comparer les différents réseaux de franchise. Veillez à définir les critères qui retiennent le plus votre attention. Il peut s’agir de : 

• La santé financière du réseau ;
• Le concept du franchiseur et les valeurs qu’il véhicule ;
• La notoriété de l’enseigne, ainsi que sa capacité d’innovation et d’adaptabilité ;
• La zone d’implantation prévue pour votre point de vente ;
• La qualité de l’accompagnement proposé ;
• etc.

Aller à la rencontre d’autres franchisés du réseau permet d’évaluer leur niveau de satisfaction à en faire partie, mais aussi d’obtenir des conseils avisés provenant de leur expérience personnelle.

Formation, accompagnement et services proposés

La qualité de l’accompagnement du réseau de franchise est un point à ne pas négliger. En signant un contrat de franchise, le bénéficiaire obtient une assistance de la part de l’enseigne. Celle-ci lui ouvre l’accès à ses ressources, telles que : 

• Des formations ;
• Un système de gestion ;
• Des outils marketing ;
• Un lieu d’échange entre les différents franchisés.

Cet accompagnement vise à prémunir l’entrepreneur des erreurs fréquemment observées en début d’activité, et permet à ce dernier de se concentrer, sans perdre de temps, sur l’exploitation de son commerce.

Étudier les conditions contractuelles

Avant d’arrêter votre choix, veillez à étudier minutieusement les conditions contractuelles qui vous lient au franchiseur. Celles-ci doivent impérativement figurer sur le DIP et portent sur les éléments suivants : 

• La valeur du droit d’entrée ;
• Le montant des redevances ;
• La durée du contrat ;
• Les modalités d’exclusivité territoriale ;
• L’étude de marché.

4- Étudier la faisabilité du projet

Étude de marché local

Bien que le document d’information précontractuel fournisse un grand nombre d’informations, il reste vivement recommandé de réaliser sa propre étude de marché. Pour ce faire, plusieurs points sont à étudier, dont les principaux sont les suivants : 

• La concurrence ;
• La zone de chalandise et son environnement ;
• Le profil des consommateurs et leurs comportements d’achat ;
• La valeur de leur panier moyen ;
• etc.

Toutes ces informations sont autant d’indices qui présument du dynamisme de la zone géographique concernée et du potentiel de croissance de la future franchise.

Élaboration du business plan

En complément de l’étude de marché, il est préférable d’élaborer également un business plan. Ce document présente le modèle économique sur lequel repose l’entreprise et précise notamment les objectifs fixés. Il est possible de s’aider de l’analyse SWOT, qui permet d’étudier la faisabilité du projet sous 4 angles distincts : 

• les forces (Strength) ;
• les faiblesses (Weakness) ;
• les opportunités (Opportunities) ;
• les menaces (Threats). 

Il comporte des données chiffrées et des projections financières, censées convaincre de potentiels investisseurs ou un établissement financier dans le cadre d’une demande d’emprunt bancaire.

5- Choisir la forme juridique de son entreprise

Le comparatif des statuts : SARL / SAS / Auto-entrepreneur

Devenir franchisé implique d’exercer son activité comme indépendant et donc, de créer son entreprise. Bien qu’elle appartienne à un réseau de franchise, la structure possède sa propre existence juridique. L’entrepreneur est donc tenu de lui choisir la forme juridique la mieux adaptée.

Plusieurs paramètres sont à prendre en compte avant d’arrêter son choix : 

• Le type de franchise (production, distribution ou services) ;
• Le nombre d’associés impliqués ;
• Le montant de l’investissement ;
• L’incidence fiscale et sociale de chaque statut ;
• Le niveau de responsabilité souhaité.

Le plus souvent, le choix de l’entrepreneur se porte sur la création d’une SAS (société par actions simplifiée) ou d’une SARL (société à responsabilité limitée). 

Il est également possible de devenir franchisé sous le statut de la micro-entreprise : on parle alors de micro-franchise. Elle présente l’intérêt de s’acquitter d’un droit d’entrée généralement inférieur (< 10 000 €) à celui d’une franchise classique, mais s’étend le plus souvent sur une zone de chalandise restreinte.

Profitez de l’accompagnement de L-Expert-Comptable.com pour choisir la forme juridique de votre franchise et bénéficiez de conseils avisés pour votre régime fiscal et pour votre protection sociale.

Réaliser les démarches de création

Les formalités de création d’entreprise diffèrent selon la forme juridique privilégiée. Dans le cadre d’une création de micro-entreprise, une simple déclaration de l’activité sur le site du guichet unique de l’INPI suffit.

La création d’une forme sociétale, telle qu’une SAS ou une SARL nécessite de : 

• Rédiger les statuts juridiques de l’entreprise ;
• Déposer son capital social auprès d’un établissement financier ;
• Publier l’avis de constitution dans un journal d’annonces légales (JAL) ;
• Enregistrer sa demande d’immatriculation sur le site du guichet unique des formalités d’entreprise.

6- Construire son plan de financement

Budget de départ et postes de dépense

Devenir franchisé requiert de mobiliser le financement censé couvrir les coûts de démarrage de l’activité. Ces derniers peuvent varier d’une franchise à l’autre, en fonction de l’activité. De manière générale, l’investissement de départ doit permettre de supporter les dépenses relatives : 

• Au droit d’entrée dans le réseau de franchise ;
• Aux redevances des premiers mois d’activité ;
• À la constitution d’une trésorerie de départ en attendant de développer le chiffre d’affaires et de gagner en rentabilité ;
• À l’acquisition de stocks ;
• À l’aménagement du local ;
• À l’achat d’équipement ;
• Aux frais de personnel.

Il convient d’inclure dans le budget à prévoir, l’apport personnel à réaliser pour la constitution de son capital social.

Trouver des financements

Votre banque est l’interlocutrice toute désignée vers qui se tourner pour obtenir un financement. N’hésitez pas à solliciter d’autres établissements financiers pour votre projet de franchise. 

La majorité d’entre elles exigent également un apport personnel de l’entrepreneur avant de consentir un prêt bancaire. Plusieurs alternatives s’offrent à lui pour lever des fonds : 

• L'épargne personnelle ;
• Le love money (sommes d’argent provenant des proches du franchisé) ;
• Le crowdfunding ;
• etc.

7- Négocier et signer le contrat de franchise

Clauses clés à vérifier

La relation entre le franchisé et le franchiseur se formalise au travers de la signature d’un contrat de franchise. Celui-ci reprend les informations stipulées dans le DIP et comporte de multiples clauses, qu’il est nécessaire de vérifier au préalable. 

Ces clauses visent à rappeler les droits et les obligations que les parties sont tenues d’observer, et portent sur : 

• La non-concurrence ;
• L'exclusivité ;
• La confidentialité ;
• L’approvisionnement ;
• L’assistance au démarrage de l’activité (transmission du savoir-faire, formation, etc.) ;
• La durée de la franchise ;
• Les modalités de résiliation du contrat ;
• Le respect des procédures de la franchise.

Il faut savoir que dans le cadre d’une cession, le franchiseur a un droit de regard sur le choix du repreneur.

L’importance du Document d’Information Précontractuel (DIP)

Le document d’information précontractuel est un prérequis obligatoire avant la signature d’un contrat de franchise. Le franchiseur est tenu de le communiquer au futur franchisé au moins 20 jours avant d’en approuver les termes et de signer.

Le DIP contient l’ensemble des informations légales et engagements pris par les parties. Le candidat à la franchise dispose alors des éléments nécessaires pour prendre sa décision de manière éclairée et sans ambiguïté.

8- Préparer l’ouverture de son point de vente

Aménagement, équipement et logistique

Les formalités administratives finalisées, l’entrepreneur peut alors se consacrer à l’aménagement de son local afin de se tenir prêt à accueillir ses premiers clients à la date d'ouverture. 

Pour cela, il doit obligatoirement se conformer à la procédure édictée par le franchiseur. L’entrepreneur aura pris soin : 

• D’adopter le logo, les couleurs et les standards de la marque ;
• De contacter les fournisseurs du réseau pour constituer son stock de marchandises ;
• De se former aux logiciels et au système de caisse de l’enseigne ;
• De s’assurer que l’ensemble de l’équipe soit opérationnel pour l’ouverture.

Il va sans dire que le franchisé veille à rendre son local conforme aux règles de sécurité relatives aux ERP (établissements recevant du public).

Lancer une campagne de communication locale

Parmi les termes du contrat de franchise, il est prévu que la tête de réseau fournisse au franchisé tous les outils marketing dont elle fait usage pour la promotion de sa marque. Ce dernier bénéficie alors de la stratégie de communication de l’enseigne et de ses divers supports de communication (site internet, campagnes d’emailing, réseaux sociaux, newsletters, etc.).

Tout l’enjeu réside dans la réussite du premier jour de lancement. Dans le respect des bonnes pratiques de promotion du réseau, le franchisé reste libre d’initier ses propres actions pour séduire la clientèle. Selon le budget dont il dispose, il peut prévoir de faire de l’inauguration un événement fastueux, ou simplement de : 

• Distribuer des flyers ;
• Faire de la publicité dans la presse locale ;
• Réserver des promotions spéciales pour l’inauguration.

Le franchisé a également tout intérêt à développer sa présence en ligne et ainsi, investir les réseaux sociaux de manière régulière.

9- Gérer et développer sa franchise au quotidien

Suivi des performances et gestion opérationnelle

Si l’ouverture doit être soignée, la gestion du quotidien n’est surtout pas à négliger. Devenir franchisé, c’est agir en chef d’entreprise. C’est le moment d’éprouver la qualité de l’accompagnement du franchiseur. 

Celui-ci en profite pour prodiguer ses conseils et pour apporter les mesures correctives nécessaires au bon fonctionnement du commerce. Disposant d’une bonne connaissance du secteur d’activité et de ses contraintes, il représente pour le franchisé un support non négligeable pour aider ce dernier à : 

• Définir les indicateurs clés à suivre ;
• Prendre en main les tableaux de bord mis à disposition ;
• Adopter les bonnes pratiques du métier.

Relation avec le réseau : animation et formation continue

Pour rendre l’expérience de la franchise optimale, l’entrepreneur doit adhérer au collectif et rencontrer d’autres franchisés de son réseau. Ces échanges favorisent la cohésion au sein du groupe et préservent les franchisés du sentiment de solitude que peut engendrer l’entrepreneuriat.

Il s’agit alors de participer aux divers événements organisés par le réseau de franchise, afin de mieux connaître ses homologues. Ces retours d’expérience profitent à tous et permettent d’échanger ses astuces pour atteindre ses objectifs de croissance.

10- Peser les avantages et inconvénients à devenir franchisé

Devenir franchisé est une décision déterminante dans une carrière professionnelle. En cas d’erreur, il peut être plus difficile de revenir en arrière. C’est pourquoi il est indispensable pour l’entrepreneur de s’assurer que cette formule lui convient bien. 

Pour ce faire, il lui appartient de peser le pour et le contre avant de s’engager et de signer un contrat de franchise.

Conclusion

Devenir franchisé promet une expérience professionnelle stimulante et enrichissante. Pour que la réussite soit au rendez-vous, l’entrepreneur ne doit négliger aucune étape : examiner son profil d’entrepreneur, sélectionner l’activité et le réseau de franchise qui lui conviennent, mais aussi évaluer la faisabilité de son projet. Celui-ci se concrétise avec le choix de la forme juridique de l’entreprise, l’élaboration du prévisionnel financier, puis la signature du contrat de franchise. Enfin, il ne reste plus qu’au franchisé de préparer l’inauguration de son point de vente et de parfaire ses compétences en gestion d’entreprise.

Si la tête de réseau se doit de soutenir le franchisé, ce dernier a également tout intérêt à solliciter l’accompagnement d’un professionnel en amont de la conclusion du contrat de franchise. L-Expert-Comptable.com simplifie le quotidien des entrepreneurs et les guide dans les travaux préparatoires à leur projet entrepreneurial (choix de leur statut juridique, élaboration d’un business plan, démarches de création d’entreprise, etc.).

FAQ sur les étapes à suivre pour devenir franchisé

Ce modèle économique a fait ses preuves à de multiples occasions. Il permet de se lancer comme indépendant, tout en bénéficiant de l’accompagnement et des ressources d’un réseau. Le franchisé dispose alors d’une feuille de route à suivre, et gagne un temps considérable sur l’élaboration d’une stratégie commerciale.

Quel budget pour ouvrir une franchise ?

Le coût d’une franchise diffère selon l’activité, la notoriété de l’enseigne et bien d’autres facteurs. Comptez toutefois un budget pouvant aller de 50 000 € à 500 000 € pour ouvrir votre franchise.

Quel est le salaire d’un franchisé ?

Selon les données de Glassdoor, en France, le salaire mensuel moyen d’un franchisé se situe entre 2 000 € et 3 000 € brut pour l’année 2023. En revanche, il est rare de se dégager un salaire la première année d’exploitation.

Quelle est la franchise la plus rentable ?

La rentabilité d’une franchise varie selon la notoriété de sa marque. Ainsi, dans le domaine de la restauration rapide, la franchise McDonald's tire son épingle du jeu depuis de nombreuses années à travers le monde.

Peut-on devenir franchisé sans expérience ?

Oui, il est possible d’ouvrir une franchise sans aucune expérience. Il vous faudra alors vous former aux bonnes pratiques du métier.

Peut-on devenir franchisé sans apport ?

En théorie, rien n’empêche l’entrepreneur d’ouvrir une franchise sans apport personnel. En pratique, devenir franchisé requiert le plus souvent un investissement minimal.

Quels sont les risques pour un franchisé ?

Les risques encourus peuvent être de manquer de clairvoyance sur le potentiel d’une franchise et de perdre en rentabilité, ou de signer un contrat de franchise trop contraignant et de voir ce dernier requalifié en contrat de travail par un juge.

Comment connaître la rentabilité d’une franchise ?

La franchise est rentable dès lors que le chiffre d’affaires qu’elle réalise lui permet d’honorer ses charges et ses dettes et que le franchisé parvient ensuite à en tirer un revenu.

Quelle est la durée moyenne d’un contrat de franchise ?

Un contrat de franchise s’étend sur une durée moyenne de 5 à 10 ans.