Devenir community manager freelance peut être une vraie opportunité pour des personnes qui souhaitent tenter l’aventure de l’indépendance. Il existe aussi des community managers qui ne trouvent pas de poste fixe et se tournent, malgré eux, vers le statut de freelance.
Le community management fait partie des métiers du web. Il consiste à créer et à fédérer une communauté autour d’un centre d’intérêt commun. Sa mission consiste à mettre en place la stratégie marketing et la ligne éditoriale d’une entreprise, d’un produit, d’une marque sur les différents réseaux sociaux : création de contenu ciblé, événements et jeux-concours, modération et gestion des commentaires, animer une communauté, relation avec les blogueurs et les influenceurs.
Podcast : Comment devenir community manager en freelance ?
Le métier de community manager en freelance
Définition et mission du community manager en freelance
Le développement des médias sociaux a permis l’émergence du métier de community manager, autrement dit gestionnaire de communauté. Il est considéré comme le garant de la réputation et de l’engagement à l’égard de la marque sur les différents réseaux sociaux et sur le web. À ce titre, plusieurs missions et objectifs incombent au community manager :
- Veille concurrentielle et commerciale
- Construire une stratégie d’e-réputation
- Développer la stratégie de communication
- Animer une communauté
- Accroître la notoriété de l’entreprise sur les médias sociaux
- Fédérer une communauté et modérer les interactions
- Mettre en place et développer des projets web
- Veiller au bon référencement du contenu média/rédaction d’article SEO
Le marché des community managers indépendants
Le nouvel environnement pro-numérique dans lequel les entreprises évoluent les pousse à être présentes sur les réseaux sociaux, à fidéliser leur communauté, etc. Ces nouvelles pratiques ont fait émerger le métier de community manager ou de social media manager.
Selon une étude réalisée en 2019, les community managers sont essentiellement des femmes (69 %) et la grande majorité d’entre elles ont entre 21 et 30 ans (65 %). Ils exercent majoritairement en Ile-de-France (34 %) mais aussi dans d’autres grandes villes (Toulouse, Bordeaux, Nantes, etc.). Les community managers en freelance représentent 14 % des acteurs de la profession.
Les formations pour devenir community manager en freelance
Le métier de community manager en freelance appartient à la catégorie des professions libérales non réglementées. Il est donc tout à fait possible de devenir community manager autodidacte, mais il faudra suivre une formation auprès d’un expert afin d’assurer à ses clients des prestations de qualité.
Autrement, plusieurs formations et cursus existent pour exercer dans les métiers du web :
- BTS (Communication, MCO …)
- Bachelor métier du web
- Licence professionnelle : métiers de l’information et de la communication
- École de journalisme
Toujours selon cette même étude, la plupart des community managers en freelance ont un diplôme de niveau bac +5 (54 %) et 87 % ont au moins un bac +2/3.
Quelles sont les qualités pour être un bon community manager ?
En plus de la formation théorique, il est nécessaire d’avoir un certain nombre de qualités pour être un bon community manager :
La polyvalence
Un community manager doit avoir un œil sur les tendances des médias sociaux du secteur de l’entreprise cliente. Il doit pouvoir jongler entre les différentes plateformes et savoir proposer du contenu pertinent.
Être créatif
Sur les réseaux sociaux, le community manager fait face à de nombreuses stratégies digitales concurrentes. Il doit donc être attentif pour proposer des contenus neufs et originaux à sa communauté.
Évaluer la pertinence
Le social media manager doit être réactif et attentif aux remarques des internautes. Son but est, en effet, d’établir un lien entre la marque et les clients. Néanmoins, il ne doit pas répondre nécessairement à tous les commentaires.
Connaître le webmarketing
Il est essentiel que le community manager connaisse tous les rouages du webmarketing, du marketing digital et du community management pour gérer sa communauté au mieux et asseoir la notoriété de l’entreprise.
Faire de la veille
Il sera aussi nécessaire de faire de la veille régulièrement sur la toile de façon à toujours être au courant des dernières actualités du ou des secteurs pour lesquels vous travaillez.
Avoir de bonnes qualités rédactionnelles
Vous serez amené à produire du contenu pour fédérer une communauté en animant une page Facebook, un blog, etc. Vous devez donc être à l’aise à l’écrit.
Quel est le TJM d'un community manager freelance ?
Selon le baromètre des tarifs freelance de Malt, le taux journalier moyen d’un CM freelance se situe à 401 €. Toutefois, ce TJM reste à relativiser, tant les critères qui viennent impacter ce dernier peuvent différer.
Quel est le salaire moyen d’un community manager ?
En début de carrière, un community manager peut espérer percevoir un salaire mensuel d'environ 2 000 € brut pour un poste à temps plein. Celui-ci peut varier en fonction de son niveau de formation initiale, des stages préalablement effectués, mais aussi de l’envergure de l’entreprise qui l’emploie.
Au fil de ses expériences, le CM peut voir son salaire évoluer et atteindre un montant de 3 000 € mensuels, voire plus. Ce professionnel des médias sociaux aura eu l'occasion de faire ses preuves en développant l’image de marque de son employeur, données chiffrées ou courbes de trafic à l’appui.
Cependant, la rémunération d’un CM salarié est quelque peu différente de celle d’un community manager freelance. En effet, ce dernier exerce en indépendant et doit tenir compte des charges qui lui incombent pour fixer ses tarifs et assurer sa rentabilité.
Combien gagne un community manager freelance ?
Contrairement au CM salarié, le freelance génère avant tout un chiffre d’affaires (CA). Du montant de celui-ci dépend la rémunération que le community manager indépendant est en mesure de se dégager. S’il fixe librement ses tarifs, le prestataire doit néanmoins tenir compte de nombreux critères pour ne pas travailler à perte, tels que :
- son niveau d’expérience ;
- sa localisation ;
- le nombre de jours travaillés dans le mois ou l’année ;
- son ou ses domaines de spécialisation (e-commerce, publicité, etc.) ;
- la durée et la récurrence de ses missions ;
- les cotisations inhérentes à son statut juridique ;
- ses charges de fonctionnement (logiciels, abonnement internet, assurances, etc.).
Le CM exerçant en freelance ne dispose pas de jours de congés payés comme son homologue salarié. Il lui appartient de déterminer lui-même les périodes de repos qu’il s’octroie. Celles-ci n’étant pas rémunérées, elles sont à inclure dans le taux journalier moyen de l’indépendant. Il en est de même pour les tâches non facturables, mais indispensables à l’activité :
- prospection ;
- participation à des événements professionnels ;
- tâches administratives (facturation, communication, etc.).
Il faut donc bien comprendre que le TJM freelance ne correspond pas au salaire que le community manager perçoit. La rémunération qu’il tire de son activité équivaut alors au chiffre d’affaires réalisé, après déduction de l’ensemble de ses charges sociales, fiscales et d’exploitation.
Exemple : un CM en micro-entreprise réalise un CA mensuel de 3 000 € HT. Il doit en prévoir les déductions suivantes :
- 23.3 % de cotisation au titre de l’URSSAF = 699 €
- environ 10 % d’imposition = 300 €
- 10 % au titre de ses congés payés = 300 €
- ses dépenses courantes = 200 €
Dans ce cas de figure, le community manager freelance perçoit une rémunération mensuelle nette de 1501 €. Il n’est donc pas rare d’observer certains professionnels proposer leurs prestations pour un tarif journalier moyen de 500 ou 600 €.
Dans quels secteurs travaille un community manager freelance ?
Le profil des clients du CM indépendant
Les opportunités de mission sont multiples pour le CM freelance, et ce, dans tous les domaines d’activité. Ses compétences en stratégie de communication sur les réseaux sociaux sont notamment appréciées par les :
- agences de communication ou les agences digitales ;
- entreprises (de la TPE au grand groupe) ;
- collectivités et les institutions ;
- personnalités publiques (célébrités, personnages politiques, présidents d’association, influenceurs, etc.).
C’est un fait, toutes les marques ont besoin de communiquer autour de leurs valeurs, de leurs produits ou de leurs services. Quel que soit leur champ d’expertise, ces dernières cherchent à établir un lien de proximité avec leurs cibles pour mieux appréhender leurs habitudes de consommation et ainsi, mieux répondre à leurs attentes.
La capacité d’adaptabilité du community manager freelance
Lorsqu’il exerce pour le compte d’agences, le CM indépendant est amené à balayer un large spectre de secteurs économiques au cours de ses missions. Il peut y avoir autant de domaines économiques à couvrir que de clients dans le portefeuille de l’agence.
Un jour, le CM vante les mérites d’une marque de cosmétiques auprès d’une communauté d’adolescents acnéiques. Le lendemain, il peut modérer la virulence des commentaires de certains internautes dans un contexte de campagne électorale.
Le community manager freelance s’emploie à s’approprier la culture d’entreprise de son client, en comprendre les codes et adopter son jargon professionnel. Ce n’est qu’une fois ce travail d’assimilation effectué qu’il est en mesure d’animer les échanges de sa communauté sur le net et de parfaire son e-réputation.
Avantages et inconvénients d'être community manager freelance
Devenir community manager en freelance présente quelques avantages :
- vous êtes libres de choisir votre lieu de travail : chez vous, dans un espace de coworking ou encore dans un local professionnel, dès lors que vous disposez d’une bonne connexion internet, tout est possible.
- vous pouvez choisir vos missions selon vos compétences et vos préférences. Vous pouvez proposer de l’animation sur les réseaux, une présence sur les médias sociaux ou encore l’élaboration d’une stratégie digitale ou de communication digitale.
- vous n’avez pas de supérieur hiérarchique : vous êtes donc libre de vos horaires et de votre organisation.
Toutefois, avoir son propre e-business apporte son lot de contraintes :
- gestion de l’administratif : factures, URSSAF, etc. ;
- savoir s’organiser ;
- vous ne pouvez compter que sur vos propres compétences ;
- il peut être difficile de faire son propre commercial au début, surtout si on manque de réseau ;
Comment devenir community manager indépendant ?
Se lancer dans le community management en freelance demande de passer par toutes les étapes classiques du business plan de création d’entreprise.
1- Faire une étude de marché
Il est nécessaire d’étudier les modes de fonctionnement des community managers déjà indépendants : offre, système de tarification, stratégie de communication. Il faut aussi étudier les besoins des entreprises en termes de communication web et de présence digitale. Tout ceci vous aidera à monter votre offre et à prospecter vos clients.
2- Fixer ses tarifs
Les tarifs fixés doivent vous permettre de réaliser un chiffre d’affaires qui couvre vos charges et vous permet de dégager un revenu. Généralement, les prix des community managers indépendants vont de 300 € à 600 € par jour. Il peut arriver que certains professionnels proposent des prix plus faibles, notamment sur les plateformes de mise en relation, mais il s’agit souvent des profils junior ou de personnes cherchant un complément de revenu.
3- Réaliser les formalités de création d’entreprise
Avant de facturer ses premiers clients, il est nécessaire de constituer le cadre légal de son activité de community manager freelance. Créer une micro-entreprise peut s’avérer intéressant s’il s’agit d’exercer seul ou de tester son activité. Les démarches de création sont simples et permettent de se lancer rapidement.
La forme sociétale est plus complexe à mettre en œuvre, mais permet au CM de s’associer et d’envisager un projet à croissance rapide. Toutefois, les différentes formes juridiques possibles (SAS, SARL, SA, etc.) impliquent toutes de :
- convoquer les actionnaires en assemblée générale et désigner le dirigeant ;
- rédiger les statuts juridiques de la structure ;
- déposer le capital social constituant le patrimoine de l’entreprise ;
- publier l’avis de constitution auprès d’un journal d’annonces légales ;
- procéder à la demande d’immatriculation de la société sur le guichet unique de l’INPI.
Dès lors que l’entreprise est officiellement en cours d’immatriculation, le CM peut d’ores et déjà émettre ses premières factures.
Pour vous aider à choisir le statut juridique adapté à votre situation pour votre création d'entreprise voici un simulateur :
4- Chercher ses premiers clients
Plusieurs leviers sont à actionner pour trouver ses premiers clients et lancer son activité : les plateformes de mise en relation professionnelle (Malt, LinkedIn), activer son réseau personnel et informer son entourage sur le fait que vous lancez votre agence digitale, prospection auprès des entreprises.
5- Développer son image professionnelle
Celle-ci vous permettra de gagner en crédibilité auprès de vos clients. Pour ce faire, vous avez la possibilité de créer votre site web qui sera la vitrine de votre activité, de concevoir un blog qui vous permet de rédiger du contenu et de donner un aperçu de votre travail ou encore de vous faire des cartes de visite.
Quitter son poste actuel pour devenir community manager indépendant ?
Vous souhaitez quitter votre poste actuel pour vous lancer en tant qu’auto-entrepreneur et créer votre propre agence de communication, voici plusieurs options selon votre situation :
- Quitter un CDI : vous avez la possibilité de convenir d’une rupture conventionnelle avec votre employeur ou démissionner.
- Quitter un CDD : vous êtes normalement tenu d’honorer le contrat jusqu’à son terme sauf si votre employeur accepte que vous le terminiez par anticipation.
- Vous êtes sans-emploi : vous pouvez vous renseigner sur les aides disponibles pour la création d’entreprise.
Comment fixer ses tarifs de community manager freelance ?
Établir sa grille tarifaire s’apparente à un vrai casse-tête pour le CM indépendant en début d’activité. Celui-ci ne dispose pas de l’antériorité suffisante pour déterminer le temps qu’il va devoir consacrer à une mission ou à définir correctement son seuil de rentabilité.
Pour autant, il lui faut fixer ses tarifs et ceux-ci ne doivent pas être le fruit du hasard. Le community manager freelance peut se montrer méthodique en procédant par étapes :
- définir sa rémunération idéale ;
- calculer le montant des charges qu’il doit supporter dans le cadre de son activité pour obtenir une idée du chiffre d’affaires minimal qu’il doit réaliser pour s’en approcher ;
- faire le point sur son niveau de compétences, d’expérience et estimer la valeur ajoutée de ses services ;
- comparer les tarifs affichés par les freelances de sa région, à compétences égales ;
- tenir compte des éventuelles périodes chômées (imprévus, maladie, congés, etc.) ;
- déterminer ses modalités de facturation (forfait, TJM, taux horaire, etc.).
De nombreux paramètres sont à considérer pour valoriser son travail et fixer ses tarifs de manière optimale. D’autant plus que ces derniers pourront encore être modulés lors des négociations avec un prospect. Il s’agit d’un juste équilibre à trouver entre :
- les prix pratiqués sur le marché ;
- le profil du freelance ;
- ses propres attentes.
N’hésitez pas à solliciter l’avis d’autres indépendants sur leur manière d’appréhender cette problématique commune à tous les chefs d’entreprise.
Comment obtenir ses premières missions en tant que community manager freelance ?
Vous préparez ce projet professionnel depuis un certain temps : vous vous êtes formé et avez suivi toutes les étapes pour vous lancer sereinement. Vient alors le moment de mettre un pied à l’étrier ! Oui, mais encore faut-il décrocher son premier contrat freelance ! Plusieurs solutions possibles : à vous d’adopter celles qui vous conviennent le mieux.
Faire appel à son réseau personnel
L’entourage personnel regorge souvent d’opportunités professionnelles insoupçonnées. Pour en tirer profit, il suffit de faire savoir à ses proches que vous lancez votre activité de community management.
Ces derniers se montreront vigilants quant à d’éventuels besoins au sein de leur entreprise et transmettront vos coordonnées à leurs employeurs, à leurs voisins ou à leurs commerces de proximité.
S’inscrire sur une plateforme de mise en relation
Ces plateformes de freelance font souvent figure de tremplin pour les jeunes entrepreneurs. Il en existe une grande variété, les plus connues étant Malt, Fiverr, ou encore Upwork. Elles peuvent être généralistes ou spécialisées dans un secteur professionnel donné.
Le community manager freelance s’inscrit gratuitement (en échange d’une commission) et conçoit son profil de manière attrayante. La principale difficulté réside dans le fait de trouver sa première mission.
En fin stratège, le CM débutant propose souvent un TJM attractif pour se démarquer. S’il obtient des avis positifs sur son travail, sa visibilité augmente sur la plateforme et d’autres missions suivront.
Communiquer sur les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux représentent un canal de diffusion incontournable pour promouvoir son activité. Le community manager freelance a tout intérêt à ouvrir un compte Instagram ou à créer son profil sur LinkedIn pour communiquer sur ses services et la valeur qu’il peut apporter à une marque. Il convient surtout de concentrer ses efforts sur les réseaux où se trouvent les clients potentiels, et d’en comprendre les codes.
La publication de posts sur les réseaux sociaux fait l’objet d’une véritable stratégie marketing, avec la création d’un calendrier éditorial, d’une charte graphique, etc. En parallèle, c’est aussi l’occasion de prospecter à chaud, en échangeant par DM (direct message) avec des prospects qualifiés.
Participer à des événements professionnels
Ces lieux de rendez-vous réunissent de nombreux entrepreneurs et sont autant d’occasions de leur présenter vos offres. Contrairement à la publication de posts sur les réseaux sociaux, cette approche est plus naturelle et favorise le contact humain.
Le CM peut alors guetter les prochaines dates de salons, conférences ou autres forums se déroulant près de chez lui. Aller à la rencontre des professionnels permet de mieux s’imprégner de leurs besoins en termes de gestion de leur image de marque, et d’étoffer son carnet d’adresses pour de futures collaborations.
Intégrer un réseau d’affaires
En plus de participer aux événements professionnels de sa région, le community manager freelance peut également faire partie d’un réseau d’affaires local. Celui-ci désigne un groupement d’entrepreneurs et d’experts cherchant à mutualiser leurs différents savoir-faire. Cette démarche a pour but de pallier le sentiment de solitude que peut éprouver l’entrepreneur et de contribuer au développement économique des adhérents.
Créer son site internet
Trouver ses premiers clients passe également par la présence en ligne du chef d’entreprise. Le community manager freelance n’échappe pas à la règle. Pour cela, quoi de mieux que de disposer d’un site internet ?
Celui-ci constitue une véritable vitrine de son savoir-faire, de ses services et de ses tarifs. C’est aussi l’occasion de partager son portfolio ou les résultats qu’il a pu obtenir en community management au travers de stages ou de missions bénévoles. S’il n’est pas un outil de prospection à proprement parler, un site internet bien référencé localement peut être un canal d’acquisition de clients efficace.
Il faut avant tout comprendre qu’en etant community manager freelance, vous devrez gerer absolument tout concernant votre activite. Vos clients ne pourront se referer qu’a vous, et vous devrez aussi gerer la partie commerciale et administrative. Ces deux derniers points peuvent parfois peser lourd sur vos epaules et sur votre moral. Face a plusieurs echecs, vous pourriez remettre en cause vos talents en tant que commercial(e), par exemple. Meme s’il est toujours bon de se remettre en question, il faut aussi comprendre que la faute ne viendra pas necessairement de vous.
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