Diagnostic interne d'une entreprise : Comment ça marche ?
Le diagnostic interne analyse l'environnement interne de l'entreprise pour identifier ses forces et faiblesses.
Il permet de mettre en valeur les avantages concurrentiels et de définir des axes d'amélioration.
Plusieurs outils existent pour le réaliser : SWOT, matrice BCG, diagramme d'Ishikawa, méthode Six Sigma.
Il concerne l'analyse des ressources matérielles (financières, équipements, ressources humaines) et immatérielles (organisation, technologie, image de marque).
Il est essentiel pour optimiser la stratégie de l'entreprise et préparer un business plan efficace.
Il doit être réalisé avant le diagnostic externe pour obtenir une vision complète du positionnement de l'entreprise.
Comment fixer un objectif SMART ? : Définitions, exemples
La méthode SMART est un outil de gestion de projet qui aide à formuler des objectifs clairs et précis en suivant 5 critères : Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporel.
Les objectifs SMART permettent de définir un plan d'action détaillé, facilitant ainsi la répartition des tâches et l'allocation des ressources.
Cette méthode améliore la visibilité du projet et aide à suivre son avancement à travers des sous-objectifs intermédiaires.
Les objectifs SMART contribuent à la motivation de l'équipe en fixant des objectifs atteignables tout en tenant compte des capacités et contraintes de l'entreprise.
La méthode peut être utilisée à la fois dans le cadre de la gestion de projets professionnels et personnels, comme un objectif de carrière.
Pour une mise en œuvre efficace, chaque critère SMART doit être détaillé et adapté au projet, en consultant les membres de l'équipe pour garantir sa réalisabilité.
Définition de la société en formation : période avant l’immatriculation où la société n’a pas encore de personnalité morale mais une existence juridique.
Différence avec une société créée de fait : une société en formation n’est pas encore immatriculée, tandis qu'une société créée de fait l’est.
Période de formation : commence avec la volonté de créer la société et se termine à son immatriculation au RCS.
Délai maximum d’immatriculation : la société doit être immatriculée dans les 6 mois, au risque d’être requalifiée en société de fait.
Actes réalisés par la société en formation : peuvent inclure des actes liés à la création, mais doivent être effectués "au nom et pour le compte de la société en formation".
Modalités de reprise des actes : les actes réalisés avant l’immatriculation peuvent être repris sous certaines conditions, selon les statuts ou une assemblée générale.
Cumul chômage et auto-entrepreneur : C'est possible en 2025 ?
Mois avec gros chiffre d’affaires : l’ARE est réduite et la part non versée est convertie en jours reportés.
Mois à zéro chiffre d’affaires : l’ARE redevient pleine et les jours reportés prolongent la durée des droits.
Cumul auto-entreprise + salariat : possible si pas de clause d’exclusivité/concurrence et activités distinctes ; l’ARE tient compte des deux revenus.
Fermeture de la micro-entreprise : vos droits restants continuent si vous êtes inscrit et disponible ; actualisez votre situation.
Calcul mensuel de l’ARE : CA − abattement micro → on déduit 70 % de ce montant de l’ARE théorique, avec plafond par le SJR.
Actualisation obligatoire : déclarez chaque mois, même si le CA n’est pas encore connu (paiement provisoire puis régularisation), sous peine d’interruption/radiation.
La garantie de passif : définition, utilité et mode d'emploi
La garantie de passif protège l'acquéreur contre les dettes non déclarées avant la cession d'entreprise.
Elle oblige le vendeur à indemniser l'acheteur pour toute dette cachée, assurant une sécurité financière post-cession.
L'importance de la garantie de passif réside dans sa capacité à maintenir la transparence et la confiance entre les parties prenantes.
Les implications fiscales de la garantie de passif sont détaillées pour le vendeur et l'acheteur, en fonction de leur statut.
Des distinctions sont faites entre la garantie de passif, la clause de révision de prix et la garantie d'actif, avec des explications sur leurs différences juridiques et financières.
Un guide complet sur la gestion des risques et les bonnes pratiques de due diligence dans les cessions d'entreprise est fourni.
L'intégration fiscale permet de consolider les résultats fiscaux de toutes les sociétés d'un groupe sous une seule déclaration.
Pour en bénéficier, la société mère doit détenir au moins 95% du capital des filiales et celles-ci doivent être soumises à l'impôt sur les sociétés (IS).
Les principaux avantages incluent la possibilité d’imputer les déficits d’une filiale sur les bénéfices du groupe et de supprimer certaines impositions intragroupe.
L’option pour l'intégration fiscale doit être réalisée via une déclaration auprès des impôts, accompagnée d’une convention d’intégration fiscale entre les sociétés.
Les ajustements intra-groupe sont nécessaires pour neutraliser certaines opérations et garantir une taxation correcte au niveau du groupe.
La sortie du régime d’intégration fiscale est possible sous certaines conditions, notamment la perte de contrôle à 95% de la société mère sur ses filiales.
Concurrent direct et indirect : Quelles différences ?
La concurrence directe concerne les entreprises proposant des produits ou services similaires à ceux de votre entreprise.
La concurrence indirecte répond au même besoin que votre entreprise, mais par des produits ou services différents.
Pour identifier des concurrents indirects, une analyse approfondie du marché et un benchmark sont nécessaires.
L'analyse de la concurrence se fait à l'aide de sources d'information en ligne (sites internet, réseaux sociaux) et hors ligne (études de marché locales, services clients).
Elle permet de dégager des avantages concurrentiels pour affiner votre stratégie et différencier votre offre.
Une étude de concurrence aide à repérer des forces et faiblesses chez les concurrents pour mieux vous positionner sur le marché.
Rôle principal : Le programmeur informatique conçoit des programmes, sites internet et applications adaptés aux besoins des clients.
Compétences requises : Maîtrise d'un ou plusieurs langages informatiques (HTML, JavaScript, PHP, Python, etc.), curiosité et autonomie dans l'apprentissage.
Évolutions de carrière : Possibilités de devenir manager (administrateur système, chef de projet) après quelques années d'expérience.
Salaire : Salaire moyen de 31 446€/an, pouvant atteindre jusqu'à 4000€ brut mensuel avec de l'expérience.
Formations nécessaires : Diplômes allant de Bac +2 à Bac +5, avec une forte demande pour des candidats bien diplômés.
Secteurs d'emploi : Entreprises de conception de logiciels, grandes entreprises, PME, indépendants, et dans divers secteurs comme la banque et l'assurance.