Comment devenir risk manager freelance ? Guide complet

Quelles sont les étapes pour devenir risk manager freelance ?

Obtenir les qualifications nécessaires

Le niveau Bac+5 minimum est requis pour devenir risk manager, généralement dans les domaines de la finance, du droit, de l'audit ou de l'ingénierie. Cette formation supérieure solide constitue la base indispensable pour comprendre les enjeux complexes de la gestion des risques.

Plusieurs parcours mènent au métier :

Des certifications professionnelles renforcent également votre crédibilité sur le marché : CRM (Certified Risk Manager), FRM (Financial Risk Manager), CISM (Certified Information Security Manager), ISO 31000 Risk Manager Certificate.

Les entreprises valorisent particulièrement les double-compétences (finance + IT, audit + juridique) qui permettent d'appréhender les risques de manière globale.

Acquérir une expérience professionnelle solide

Avant de vous lancer en freelance, vous devez accumuler entre 5 et 10 ans d'expérience en tant que salarié. Cette période est indispensable pour développer votre expertise technique, comprendre les enjeux métiers et construire votre réseau professionnel.

Les postes à privilégier pour évoluer vers risk manager :

• Auditeur interne ou externe
• Contrôleur de gestion
• Analyste financier
• Consultant en organisation
• Responsable conformité
• Responsable sécurité IT

Durant cette phase, concentrez-vous sur la gestion de projets complexes impliquant l'identification, l'analyse et le traitement de risques significatifs. Les recruteurs recherchent des profils ayant piloté au moins 2 à 3 projets d'envergure avant d'envisager une collaboration en freelance.

Choisir votre statut juridique

Pour exercer en tant que risk manager indépendant, trois statuts principaux s'offrent à vous. Chaque option présente des avantages et des contraintes à évaluer selon votre situation.

La micro-entreprise convient pour tester le marché en conservant un emploi salarié, mais son plafond de chiffre d'affaires devient rapidement limitant. La plupart des risk managers freelance optent pour l'EURL ou la SASU.

Réaliser les formalités d'immatriculation

Une fois votre statut choisi, vous devez procéder à l'immatriculation de votre activité. Les démarches s'effectuent désormais en ligne sur le guichet unique de l'INPI.

Pour une micro-entreprise, les étapes sont simplifiées :

1. Déclarer votre activité sur le Guichet Unique
2. Obtenir votre numéro SIRET
3. Ouvrir un compte bancaire dédié
4. Souscrire une assurance RC Professionnelle

Pour une société (EURL, SASU) :

1. Rédiger les statuts juridiques
2. Déposer le capital social sur un compte bloqué
3. Publier une annonce légale dans un journal habilité
4. Déposer le dossier d'immatriculation sur le Guichet Unique
5. Obtenir votre extrait Kbis

Votre activité de conseil relève du code APE 7022Z (Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion).

Vous souhaitez être accompagné dans vos démarches de création ? L-Expert-Comptable.com vous propose la création gratuite de votre entreprise, avec un juriste dédié qui s'occupe de toutes les formalités : rédaction des statuts, dépôt de capital, annonce légale, immatriculation. Zéro frais à avancer.

Souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle

En tant que consultant indépendant, vous devez obligatoirement souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle (RC Pro). Cette assurance couvre les dommages matériels, corporels et immatériels que vous pourriez causer à vos clients dans le cadre de votre activité.

Exemples de situations couvertes :

• Erreur de conseil entraînant une perte financière pour le client
• Défaut d'identification d'un risque majeur
• Non-conformité réglementaire due à vos recommandations
• Violation involontaire de la confidentialité

Les montants de garantie varient généralement entre 500 000 € et 2 000 000 € selon votre secteur d'intervention. Comptez entre 800 € et 2 000 € par an pour une couverture complète incluant la protection juridique et la cyber-assurance.

Certains grands comptes exigent des montants de garantie minimums (souvent 1 M€) pour pouvoir travailler avec vous. Vérifiez ces exigences avant de choisir votre contrat.

Construire votre offre de services

Pour réussir en freelance, vous devez définir clairement votre positionnement et votre offre de valeur. Plutôt que de vous positionner comme généraliste, spécialisez-vous dans un domaine précis.

Spécialisation par secteur :

• Banque et finance : risques de crédit, risques de marché, conformité Bâle III/IV
• Assurance : Solvabilité 2, gestion des sinistres, actuariat
• Industrie : risques HSE, supply chain, environnementaux
• IT et télécoms : cybersécurité, protection des données, RGPD
• Santé : conformité données patients, risques médicaux
• Énergie : risques industriels, environnementaux, géopolitiques

Spécialisation par type de risque :

• Risques financiers (trésorerie, change, crédit)
• Risques opérationnels (processus, supply chain, continuité)
• Risques cyber (sécurité IT, RGPD, résilience)
• Risques juridiques et conformité (réglementation, litiges)
• Risques ESG (environnementaux, sociaux, gouvernance)

Les PME font de plus en plus appel à des risk managers freelance pour des missions ponctuelles (lancement de produit, investissement, mise en conformité) car elles n'ont pas les moyens d'embaucher un salarié à temps plein.

Définir vos tarifs

Votre taux journalier moyen (TJM) doit intégrer l'ensemble de vos charges et votre rémunération souhaitée. Les TJM pratiqués par les risk managers freelance varient selon l'expérience :

Éléments à prendre en compte dans votre calcul :

• Vos charges fixes mensuelles (loyer, assurances, comptabilité, outils)
• Vos charges sociales (22% en EURL avec IS, 45-50% en SASU)
• Votre rémunération nette souhaitée
• Vos jours non facturables (prospection, formation, administratif)
• Une marge pour investir et développer l'activité

Les secteurs les mieux rémunérateurs sont la banque, l'assurance, l'industrie pharmaceutique et les grandes entreprises internationales soumises à des régulations strictes.

Nous mettons à disposition un simulateur de revenu freelance pour calculer votre TJM.

Le métier de risk manager : missions et responsabilités

Le risk manager est responsable d'identifier et de limiter les risques qui pourraient impacter la performance, la valeur ou la réputation d'une entreprise. Son objectif principal consiste à anticiper tout ce qui pourrait provoquer une perte financière, une atteinte à l'image, une faille informatique, un litige juridique ou un problème de conformité.

Les missions quotidiennes

Le risk manager assume des missions variées selon le secteur et la taille de l'organisation. Les principales incluent :

Identification et analyse des risques : repérer tous les risques financiers, opérationnels, technologiques, juridiques et stratégiques, puis mesurer leur criticité (probabilité et impact).

Cartographie des risques : construire une vision globale et structurée des menaces pesant sur l'entreprise, hiérarchisées selon leur importance.

Plans d'action : proposer et piloter des mesures concrètes pour réduire, transférer ou maîtriser les risques identifiés.

Conformité réglementaire : veiller au respect des normes sectorielles (ISO 31000, COSO ERM, Solvabilité 2, Bâle III/IV) et anticiper les évolutions réglementaires.

Reporting et communication : réaliser des reportings réguliers pour la direction générale, animer des comités de risques et sensibiliser les équipes à la culture du risque.

Gestion de crise : établir des plans de continuité d'activité (PCA), coordonner les réponses en cas d'incident majeur et organiser la reprise après crise.

Le risk manager collabore étroitement avec les services d'audit, de contrôle interne, juridique, IT et finance. Sa vision transversale en fait un acteur clé de la gouvernance d'entreprise.

Les compétences essentielles

Pour exceller dans ce métier, vous devez développer des compétences techniques et des qualités personnelles.

Compétences techniques :

• Maîtrise des méthodes d'analyse quantitative et qualitative
• Connaissance approfondie des référentiels (ISO 31000, COSO ERM)
• Expertise en analyse financière, juridique et réglementaire
• Maîtrise des outils de cartographie des risques (RiskWatch, Predict!, EGERIE)
• Compétences en cybersécurité et protection des données
• Maîtrise de l'anglais professionnel

Qualités personnelles :

• Rigueur et sens de l'organisation
• Excellente capacité d'analyse et de synthèse
• Bonne résistance au stress et à la pression
• Force de persuasion et pédagogie
• Excellente communication écrite et orale
• Autonomie et adaptabilité

Quel salaire pour un risk manager freelance ?

Rémunération en tant que salarié

En France, le salaire d'un risk manager salarié varie fortement selon l'expérience et la localisation. Un débutant gagne entre 38 000 € et 42 000 € brut annuel à Paris (32 000 € à 36 000 € en région), soit environ 2 600 € à 2 900 € net mensuel.

Après 3 à 6 ans d'expérience, la rémunération évolue entre 45 000 € et 58 000 € brut annuel à Paris (40 000 € à 52 000 € en région). Un risk manager senior avec plus de 6 ans d'expérience peut atteindre 60 000 € à 85 000 € brut annuel à Paris, voire plus de 100 000 € dans les grandes banques ou multinationales.

Revenus potentiels en freelance

En tant qu'indépendant, vos revenus dépendent du taux journalier moyen et du nombre de jours facturés. Avec un TJM de 550 € et 20 jours facturés par mois, vous générez 11 000 € de chiffre d'affaires mensuel, soit 132 000 € annuels.

Sur cette base, après déduction des charges sociales (environ 45% en SASU, 22% en EURL avec IS), des frais professionnels (2 000 € à 4 000 € par an), de la comptabilité (1 000 € à 2 000 € par an) et des assurances (800 € à 2 000 € par an), votre rémunération nette se situe entre 4 500 € et 6 500 € mensuels selon votre structure.

Ces revenus sont variables. Prévoyez une période de démarrage de 3 à 6 mois avant d'atteindre un rythme de croisière avec des missions régulières.

Trouver vos premières missions

Le démarrage de votre activité freelance repose sur votre capacité à décrocher rapidement vos premières missions. Plusieurs stratégies complémentaires maximisent vos chances de succès.

Activer votre réseau professionnel

Votre premier levier de prospection est votre réseau existant. Informez vos anciens collègues, managers, clients et contacts professionnels de votre nouveau statut. Le bouche-à-oreille et les recommandations représentent 60 à 70 % des missions obtenues par les consultants freelance.

Actions concrètes :

• Annoncer votre activité sur LinkedIn avec un post explicatif
• Envoyer un email personnalisé à vos contacts clés
• Prendre des cafés réseau pour présenter votre offre
• Demander des recommandations LinkedIn
• Participer à des événements professionnels de votre secteur (AMRAE, conférences risques)

S'inscrire sur les plateformes spécialisées

De nombreuses plateformes mettent en relation les consultants freelance avec les entreprises. Les principales pour les risk managers :

Plateformes généralistes : Malt, Comet, Crème de la Crème, Side, Independant.io

Plateformes spécialisées finance/risk : Free-Work, Missions-Cadres, Freelance-Consulting

Réseaux d'experts : Toptal, BTG Consult, Collective Work

Ces plateformes prélèvent généralement une commission (10-20%) mais offrent une visibilité immédiate et un flux régulier d'opportunités.

Développer votre présence en ligne

Site web professionnel : même simple, il renforce votre crédibilité. Il doit présenter votre expertise, vos spécialisations, vos références clients (avec autorisation), vos certifications et vos coordonnées.

LinkedIn : votre vitrine professionnelle. Optimisez votre titre (Risk Manager Freelance | Spécialiste Risques Cyber), votre résumé avec mots-clés sectoriels, la section Expérience avec résultats chiffrés. Publiez régulièrement du contenu à valeur ajoutée (articles, analyses, retours d'expérience).

Selon une étude de Malt, 78 % des recruteurs vérifient le profil LinkedIn du freelance avant de le contacter. Un profil optimisé multiplie par 5 vos chances d'être sollicité.

Répondre aux appels d'offres

Les grandes entreprises et administrations publient régulièrement des appels d'offres pour des missions de risk management. Surveillez les plateformes dédiées comme :

• Place des Achats (marchés publics)
• AWS Marchés (marchés publics)
• Sites d'appels d'offres privés sectoriels

Bien que chronophages, ces réponses peuvent déboucher sur des missions longues (6-12 mois) et bien rémunérées.

Risk manager freelance ou salarié : quel choix faire ?

Le statut d'indépendant offre des avantages significatifs mais implique aussi des contraintes qu'il faut bien mesurer avant de se lancer.

Avantages du statut freelance

Inconvénients du statut freelance

Le risk manager freelance doit assumer plusieurs contraintes : la prospection commerciale constante pour décrocher de nouvelles missions, la gestion administrative de son activité (comptabilité, facturation, déclarations fiscales), l'absence de revenus garantis entre deux missions, et l'obligation de se former continuellement pour rester à jour des évolutions réglementaires et technologiques.

Le statut de salarié offre davantage de sécurité avec un salaire fixe, une protection sociale complète, des congés payés et un accès facilité à la formation, mais limite l'autonomie et plafonne généralement les revenus.

La plupart des risk managers freelance démarrent après 5 à 10 ans d'expérience en entreprise. Cette expertise terrain est indispensable pour crédibiliser vos interventions auprès des clients.

Se former continuellement

Le métier de risk manager évolue constamment avec les nouvelles réglementations, technologies et menaces. La formation continue est indispensable pour rester compétitif sur le marché.

Formations et certifications recommandées

Cybersécurité et RGPD :

• Certification CISM (Certified Information Security Manager)
• Formation RGPD et délégué à la protection des données
• Certifications en cyber-résilience et gestion d'incidents

Finance et conformité :

• Certification FRM (Financial Risk Manager)
• Formation Solvabilité 2 pour le secteur de l'assurance
• Certifications Anti-Money Laundering (CAMS)

Méthodologies et référentiels :

• ISO 31000 (Management du risque)
• COSO ERM (Enterprise Risk Management)
• Formations en Business Continuity Management

Soft skills et management :

• Gestion de crise et communication de crise
• Leadership et conduite du changement
• Négociation et communication interpersonnelle

Prévoyez un budget formation annuel de 3 000 € à 5 000 € pour maintenir votre niveau d'expertise. Ces formations sont intégralement déductibles de vos charges professionnelles.

Adhérer à l'AMRAE (Association pour le Management des Risques et des Assurances de l'Entreprise) vous donne accès à des formations, des événements de networking et une veille réglementaire indispensable.

Les secteurs qui recrutent des risk managers freelance

L'expertise du risk manager est recherchée dans de nombreux secteurs confrontés à des enjeux de conformité, de sécurité ou de transformation.

Secteurs prioritaires

Les secteurs les plus réglementés (banque, assurance, santé, énergie) font le plus appel à des risk managers freelance pour des missions de conformité, d'audit ou de mise en place de dispositifs de contrôle.

Types d'entreprises

Grandes entreprises et multinationales : missions longues (6-12 mois), processus de sélection rigoureux, rémunération élevée, accès à des projets stratégiques.

ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire) : missions ciblées (3-6 mois), accès direct aux décideurs, forte autonomie, diversité des sujets.

PME : missions ponctuelles (quelques jours à quelques semaines), polyvalence requise, accompagnement opérationnel, réactivité attendue.

Cabinets de conseil : sous-traitance de missions chez leurs clients, volume important d'opportunités, tarifs négociés, peu de gestion commerciale.

Gérer votre comptabilité et vos obligations

La gestion administrative et comptable peut rapidement devenir chronophage pour un consultant indépendant. Déléguer cette partie à un expert-comptable vous permet de vous concentrer sur vos missions.

Vos obligations comptables

Selon votre statut juridique, vos obligations varient :

Micro-entreprise : comptabilité simplifiée avec un livre des recettes et un registre des achats si vous achetez des marchandises. Déclaration mensuelle ou trimestrielle du chiffre d'affaires.

EURL/SASU : comptabilité complète avec bilan annuel, compte de résultat, liasse fiscale. Déclarations TVA mensuelles ou trimestrielles selon votre régime. Déclarations fiscales annuelles (IS ou IR).

L'accompagnement L-Expert-Comptable.com

L-Expert-Comptable.com propose une offre à 79€/mois pour les consultants indépendants, incluant :

• Un expert-comptable dédié disponible par téléphone, email ou visio
• La gestion complète de votre comptabilité (saisie, révision, bilan)
• Toutes vos déclarations fiscales (TVA, IS, CFE, liasse fiscale)
• Une application intuitive (Tiime) pour piloter votre activité en temps réel
• Des conseils illimités en fiscalité et optimisation de votre structure

Un bon accompagnement comptable vous permet d'optimiser votre fiscalité (déduction des charges, choix IR/IS, rémunération optimale) et peut vous faire économiser plusieurs milliers d'euros par an.

Les évolutions de carrière possibles

Après plusieurs années d'expérience en freelance, vous pouvez envisager différentes évolutions professionnelles selon vos aspirations.

Élargir votre offre

Devenir formateur : transmettre votre expertise via des formations en entreprise ou dans des organismes spécialisés. Les formations en gestion des risques sont très demandées. TJM formateur : 800 à 1 200 €.

Créer du contenu : rédiger des livres blancs, animer des webinaires, intervenir en conférences pour renforcer votre notoriété d'expert et générer des leads qualifiés.

Développer une offre packagée : proposer des audits flash (2-3 jours), des diagnostics express ou des formations en ligne pour diversifier vos sources de revenus.

Créer un cabinet de conseil

Si vous décrochez régulièrement des missions importantes, vous pouvez envisager de structurer votre activité en cabinet :

• Recruter des collaborateurs (risk managers juniors, data analysts, consultants)
• Créer une marque et un positionnement fort sur votre marché
• Développer des partenariats avec d'autres cabinets complémentaires
• Viser des contrats-cadres avec de grands comptes pour sécuriser votre activité

Revenir au salariat

Certains risk managers freelance choisissent de revenir à un poste salarié après quelques années, souvent à des fonctions de direction grâce à l'expérience et au réseau acquis :

• Directeur des Risques (Chief Risk Officer - CRO)
• Responsable Conformité et Contrôle Interne
• Directeur de l'Audit Interne
• Directeur Sécurité IT (RSSI)
• Consultant senior en cabinet de conseil

L'expérience freelance est alors valorisée pour la vision terrain, l'autonomie, la polyvalence et la capacité à gérer des projets complexes en autonomie.

Devenir risk manager freelance est un projet professionnel exigeant mais porteur. Ce métier stratégique nécessite une expertise solide (Bac+5 minimum), plusieurs années d'expérience (5 à 10 ans) et une formation continue rigoureuse. En échange, il offre une grande autonomie, des missions stimulantes au cœur des enjeux d'entreprise et une rémunération attractive (TJM de 400 € à 900 €). En choisissant le bon statut juridique, en construisant une offre claire et en activant votre réseau, vous maximisez vos chances de réussite. La clé réside dans votre capacité à démontrer votre valeur ajoutée et à vous positionner comme un expert incontournable de votre domaine.

Sources et références

Guichet des formalités des entreprises - INPI

Global Association of Risk Professionals - FRM Certification

ISO - ISO 31000 Management du risque